C’est la question que se pose Jean-Michel Billaut dans l’un des articles qu’il a publié sur son blog. J’ai bien ma petite opinion.
A mon avis les rencontres locales et de proximités vont continuer à se développer parce que les échanges « physiques » sont notre ciment social (on en reparle quand même quand le très (très) haut débit si cher à Jean Michel Billaut sera accessible par tous; et quand les nanotechnologies seront notre quotidien).
Mais tout ceux qui ont écumés un salon bondé, un sac plastique bourré d’une documentation qui n’atteindra même pas leur bureau à la main, pour un nombre de rencontres efficaces très faibles, seront du même avis que moi : non je ne veux plus y aller !
Des univers virtuels alternatifs se développent. Ce sont bien sur les entreprises américaines qui nous montrent la voie en développant des univers virtuels qui semblent vraiment ergonomiques.